Certes, la vidéo est très courte … Je voulais quand même la partager avec vous étant donné l’énergie positive que procure le présentateur (El Kadi Ossama).
Ces trentenaires qui n’ont plus envie de se lever pour bosser
Voici un excellent article publié sur Eco89 (Nolwenn Le Blevennec | Journaliste):
Ils ont des diplômes, un job, un bon salaire… mais s’ennuient à mourir, découvrant sur le tard les affres de la quête de soi.
Alexandre a un parcours plutôt classe : il est diplômé d’une grande école de commerce parisienne, après avoir effectué un parcours universitaire et scolaire à l’étranger. Son CV a de la gueule et c’est une mince consolation. Sa vie professionnelle l’ennuie terriblement (il n’en voit pas le bout)
Alors qu’il méprise la comptabilité, il a travaillé trois ans à la direction financière d’un groupe de luxe suisse. Il vient de quitter son poste, pour faire « à peu près la même chose » en France. Lire la suite
Hamdi Ulukaya, la success-story hollywoodienne des yaourts Chobani
Malgré que le sujet de cet article peut semblé éloigné du fil conducteur de ce blog, il existe un certains nombre d’enseignements très intéressants que nous pouvons tirer de la success story de Ulukaya. L’esprit d’initiative, l’entrepreneuriat, le rejet du statu quo et bien d’autres qualités que vous découvrirez à travers ce portrait.
Il ne lui a fallu que sept ans pour imposer sa marque dans les rayons des supermarchés américains. Hamdi Ulukaya, 42 ans, immigré turc, a fait de Chobani un mastodonte du yaourt, bousculant Danone et Yoplait.
Débarqué aux Etats-Unis avec 3.000 dollars en poche, son histoire est celle du rêve américain façon Hollywood.
Arrivé à New York de Turquie en 1994 pour faire des études d’anglais, Hamdi est né dans une famille de nomades un jour de «fin octobre» 1972 à Ilic en Anatolie. Comme nombre d’immigrés, il a la nostalgie du pays qu’il a quitté pour des raisons politiques. Un petit boulot d’étudiant dans une ferme dans la «vallée du yaourt» dans le nord de l’Etat de New York le convainc de rester.
«Les fermes, les champs, j’étais chez moi», se souvient Hamdi, inscrit alors dans un cursus de commerce à l’Université d’Albany, la capitale de l’Etat de New York.
Dans les usines Toyota, les robots commencent à être remplacés… par des humains
Toyota fait entendre un son de cloche différent de ses concurrents sur l’automatisation des lignes de production. Le constructeur nippon veut réintroduire de l’humain et du « manuel » dans ses processus de fabrication, rapporte Bloomberg.
Le Japon, l’un des pays les plus robotisés du monde, s’apprête-t-il à faire marche arrière sur l’automatisation ? On n’en est pas encore là. Mais Toyota, dont les méthodes de production font référence, s’interroge sur la place de l’humain dans ses usines. Selon Bloomberg, qui consacre un article au phénomène, le constructeur japonais veut valoriser l’apprentissage, l’expérience, la transmission, autant que l’intelligence des ordinateurs et le big data. Pour Mitsuru Kawai, chargé de promouvoir les savoir-faire au sein de l’entreprise, « nous devons revenir aux bases, nous appuyer sur nos capacités manuelles et les développer ». « Quand j’étais novice, des travailleurs expérimentés étaient appelés ‘Dieux’, et pouvaient tout faire », ajoute ce vétéran de la société, devenu un « Dieu » (« Kami-sama » en japonais) à son tour. Lire la suite
La première chaîne de montage de Ford a 100 ans
La lumière qui perce à travers le plafond de verre n’éclaire plus personne dans l’ancienne usine Ford d’Highland Park à Detroit. Aujourd’hui, c’est un entrepôt. Il y a 100 ans, y naissait le travail à la chaîne qui, outre l’automobile, a transformé la société américaine.
Et son héritage perdure aujourd’hui: des céréales aux cercueils, rares sont les industries à ne pas s’être converties au travail à la chaîne.
« Cela a eu un impact énorme. Énorme », déclare à l’AFP Stephen Burnett, professeur à l’Université Northwestern.
Pourquoi est-ce important d’entraîner sa mémoire ?
Tout d’abord je tenais à vous remercier d’être restés fidèles au blog « Gestion de projet automobile » malgré une baisse des articles publiés ces derniers mois. D’autres projets m’ont momentanément tenu éloigné de ce blog, cependant, ces mêmes projets m’ont donné matière à réflexion et des idées nouvelles d’articles.
Aujourd’hui je souhaitais évoquer un sujet que je considère important à mes yeux, il s’agit de notre mémoire. Pourquoi est-ce important de l’améliorer régulièrement ? Comment y parvenir ?
11 concepts pour développer votre leadership
Une fois n’est pas coutume, je me permets de « rebloguer » un article en anglais sans traduction. L’article original a été publié par Dave Kerpen (CEO, Likeable Local, NY Times Best-Selling Author & Keynote Speaker) sur son profil Linked In : voici le lien vers l’article original. Dave Kerpen est également l’auteur de Likeable Business.
L’article est très intéressant … il faut non seulement le lire mais également se faire une auto-évaluation par rapport aux 11 concepts que Dave évoque : une sorte d’auto-critique pour trouver les voies à améliorer vers un meilleur leadership.
Being likeable will help you in your job, business, relationships, and life. I interviewed dozens of successful business leaders for my last book, to determine what made them so likeable and their companies so successful. All of the concepts are simple, and yet, perhaps in the name of revenues or the bottom line, we often lose sight of the simple things – things that not only make us human, but can actually help us become more successful. Below are the eleven most important principles to integrate to become a better leader: Lire la suite
“Psychologie du travail” (2ème partie) : l’esprit cartésien
Comme je l’écrivais dans mon article “Psychologie du travail : la grande oubliée des écoles d’ingénieurs », une des faiblesses de personnes ayant suivi des études techniques est la psychologie au travail. Voici l’histoire de Sandro & Julie qui illustre assez bien les limites de l’esprit cartésien au travail.
La rencontre:
Sandro est jeune, séduisant, diplômé et travaillant dans le secteur des services. Julie est à son image : intelligente, belle et dynamique.
Après quelques sorties entre amis, Sandro est convaincu qu’ils sont faits pour vivre ensemble. Julie n’est pas contrariée de cette idée : elle estime également qu’ils ont toutes les chances de former un jeune et heureux couple. Lire la suite
« Psychologie du travail » : la grande oubliée des écoles d’ingénieurs
Tout d’abord bonne année à tous : prospérité, santé et bonheur. Malheureusement je n’ai pas eu l’occasion de publier des articles fréquemment ces dernières semaines mais me voici de retour !
L’objet de cet article s’articule autour de la « Psychologie au travail » ainsi que sa faible présence dans les écoles d’ingénieurs (et éventuellement au sein d’autres formations).
Avouons une chose, les premières années suivant l’embauche sont des années d’apprentissage et de progrès. D’une part, la nouvelle recrue apporte un air frais à l’entreprise et d’autre part elle apporte (par moment) des connaissances nouvelles apprises sur les bancs de l’école. Pour les plus talentueux, les plus motivés, les plus assidus au travail, le résultat est une promotion, une augmentation, de nouvelles responsabilités. Lire la suite
(Revue de livre) Gérer les personnalités difficiles au bureau
Voici un livre que j’ai recemment lu et que je recommande fortement. Comme la description de l’éditeur se passe de tout commentaire, je vous la propose tel quel: « Parce que, grâce à ce livre, vous saurez désormais reconnaître tous les types d’emmerdeurs qui pourrissent votre travail en équipe ou en face à face ; parce que Sandrine Weisz vous montre comment dédramatiser chaque comportement et l’utiliser à votre profit ; ce « classique » de la gestion interpersonnelle va transformer votre quotidien ! »
Je vous invite à voir quelques extraits de ce livre sur Amazon :